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problème carrelage

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1problème carrelage Empty problème carrelage Ven 18 Nov - 12:25

mat45

mat45
Nouveau membre
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Bonjour,
J'ai fait construire un pavillon avec un chauffage au sol électrique. La construction date de 2008 (date de réception des traveaux sans réserve avril 2009).
Depuis le 1er hiver, plusieurs carreaux se fissurent dans ma pièce à vivre.
hiver 2009-2010 : 5 carreaux fissurés changé dans le cadre du service après vente.
hiver 2010-2011: 25 carreaux fissurés ou fendus. Réponse du constructure faire une demande d'assurance dommage ouvrage.
été 2011: expertise (dommage / ouvrage) : le problème ne rentre pas dans les critères de la garentie. Cependant dans son rapport, l'expert emmet des hypothèses sur l'origine avec notamment l'absence de temps de chauffe de la dalle avant de poser le carrelage confirmer par le carreleur présent sur place.
Réponse du constructeur (absent lors de l'expertise)au téléphone: geste commercial = changer les carreaux! Il s'inscrit en faux vis à vis des hypothèses de l'expert car pour lui le bêton utilisé pour la dalle ne nécessite pas de chauffe.
Octobre 2011:J'écris un courrier recommandé demandant de préciser par écrit les raisons de son désaccort avec les hypothèses de l'expert et de me proposer une solution durable pour résoudre ce problème.
Depuis je n'ai pas de réponse.
Quels sont mes droits et les recours possibles? Mon problème peut-il rentrer dans le cadre d'une malfaçon?
Merci de vorte aide.

2problème carrelage Empty Re: problème carrelage Ven 18 Nov - 17:26

pardon

pardon
Modérateur
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mat45 a écrit:Bonjour,
J'ai fait construire un pavillon avec un chauffage au sol électrique. La construction date de 2008 (date de réception des traveaux sans réserve avril 2009).
Depuis le 1er hiver, plusieurs carreaux se fissurent dans ma pièce à vivre.
hiver 2009-2010 : 5 carreaux fissurés changé dans le cadre du service après vente.
hiver 2010-2011: 25 carreaux fissurés ou fendus. Réponse du constructure faire une demande d'assurance dommage ouvrage.
été 2011: expertise (dommage / ouvrage) : le problème ne rentre pas dans les critères de la garentie. Cependant dans son rapport, l'expert emmet des hypothèses sur l'origine avec notamment l'absence de temps de chauffe de la dalle avant de poser le carrelage confirmer par le carreleur présent sur place.
Réponse du constructeur (absent lors de l'expertise)au téléphone: geste commercial = changer les carreaux! Il s'inscrit en faux vis à vis des hypothèses de l'expert car pour lui le bêton utilisé pour la dalle ne nécessite pas de chauffe.
Octobre 2011:J'écris un courrier recommandé demandant de préciser par écrit les raisons de son désaccort avec les hypothèses de l'expert et de me proposer une solution durable pour résoudre ce problème.
Depuis je n'ai pas de réponse.
Quels sont mes droits et les recours possibles? Mon problème peut-il rentrer dans le cadre d'une malfaçon?
Merci de vorte aide.

Bonjour

Si ce n'est pas de la decenale du constructeur c'est celle du carreleur , ou de la garantie des 2 ans mais comme cela c'est impossible de vous repondre ..... si le ciment doit avoir un temps de chauffe avant la pose des carrraeux

sans savoir non plus quel carreaux sont poses , Gres cerramique , ou autre ...... 'c'est tres complexe comme pause surtout les tollerance de fissures (dalle avant pause ) sans avoir un bonne expertise ...(neutre)....

vous ne vous en tirerez pas comme cela (mais il me semble qu'il y a une assurance obligatoire a prendre par le proprio

la dommage ouvrage ou autre nom ! normalement c'est cette assurance qui prend en compte les domages et qui par la

suite enclanche les procedures .....

donc d'abord voir vos papiers !

Et lire la suite voir ci vous trouvez votre bonheur dans le DTU ...... (complet vu que je n'etais sur le chantier )

je suis oblige de vous souhaiter une bonne lecture afin que vous puissiez eclairer ! lol! nos Idea



Le DTU 52.1 détermine les conditions de pose ce matériau. Vous trouverez ci dessous les parties les plus importantes de ce DTU : Objet et domaine d'application, spécifications des matériaux de revêtements, exécution des travaux préparatoires, exécution de l'ouvrage.

1 objet et domaine d'application



1.1 objet

La présente partie de norme a pour objet de définir :

- la qualité ou les caractéristiques des matériaux ;

- les conditions de pose de ces éléments ;

- la préparation des supports.

1.2 domaine d'application

La présente partie de norme s'applique aux travaux exécutés dans les locaux d'habitation, bureaux, locaux recevant du public ainsi que dans les locaux dénommés « Magasins de grande surface », lesquels font l'objet de prescriptions particulières figurant à l'article 8.

Elle s'applique également aux travaux d'étanchéité sous carrelage en locaux intérieurs, lesquels font l'objet de prescriptions particulières figurant en annexe A.

Elle s'applique aux ouvrages intérieurs et extérieurs. La pose en extérieur est traitée dans l'article 9.

Elle s'applique également aux plinthes, aux seuils et aux revêtements d'escaliers, lesquels font l'objet des prescriptions figurant à l'article 7.

Elle ne s'applique pas aux travaux exécutés dans, les locaux industriels ou à usages spéciaux.

NOTE : Il y a lieu de comprendre dans les locaux à usages spéciaux : les ateliers, hangars, quais, cours, laboratoires de production, etc.

Elle ne s'applique pas aux travaux de pose collée, ni aux revêtements tels que : linoléum, tapis de caoutchouc, moquettes, sols plastiques en feuilles ou en carreaux, parquets mosaïque de bois.

3 spécifications des matériaux de revêtements

3.1 carreaux céramiques

3.1.1 choix des carreaux céramiques en fonction de l'utilisation envisagée

Le classement UPEC permet un choix qualitatif des carreaux céramiques.



NOTE : Ce classement est défini dans le Cahier 1905 des « Cahiers du CSTB ».

Le règlement d'attribution de la marque NF-UPEC peut être obtenu auprès du CSTB.

D'autre part, le CSTB publie annuellement la liste des produits classés bénéficiant de cette marque.

3.1.2 prescriptions relatives aux carreaux céramiques

Les définitions, la classification, les caractéristiques et les spécifications de marquage des carreaux et dalles céramiques sont fixées par la norme NF EN 87 ƒ (indice de classement : P 61-101).

Les différents types de carreaux sont définis par leur mode de façonnage :

- classe A = carreaux étirés ;

- classe B = carreaux pressés à sec ;

- classe C = carreaux coulés.

Chacune de ces classes est divisée en quatre groupes en fonction de l'absorption d'eau des carreaux exprimée sous forme de poids d'eau absorbée. €

A chaque type de carreaux correspond une norme définissant les valeurs des caractéristiques (formes, dimensions, aspect, propriétés physiques, mécaniques, chimiques), le marquage et la désignation. €

3.2 carreaux et dalles de mosaïque de marbre

3.2.1 carreaux et dalles de mosaïque de marbre à liant ciment et carreaux de ciment

Ces carreaux doivent satisfaire aux spécifications de la norme NF P 61-302 ƒ.

Le classement UPEC permet un choix qualitatif des carreaux.



NOTE : Les produits titulaires du droit d'usage de la marque NF sont réputés satisfaire aux spécifications de ce document et peuvent bénéficier du classement UPEC pour les carreaux à liant ciment.

Le classement UPEC est défini dans le Cahier 1928 (Cahiers du CSTB).

3.3 dallages en matériaux naturels

Les principales caractéristiques des matériaux naturels sont définies par les normes suivantes : NF B 10-502, NF B 10-508, NF B 10-509 et NF B 10-513.

Les caractéristiques géométriques et les tolérances sont visées par les normes NF B 10-401 ƒ et NF B 10-402 ƒ.

Les spécifications applicables à l'emploi de revêtements de sol en pierres sont données par la norme NF B 10-601.

3.3.1 dalles en pierre calcaire et en marbre

3.3.1.1 choix des épaisseurs

L'épaisseur est déterminée en fonction de la résistance à la compression de la pierre et des dimensions prévues.

3.3.1.2 dalles de formes irrégulières

a) opus tout venant

Les chants des éléments sont sciés ou cassés. Les joints sont libres et variables.



NOTE : Les éléments sont de forme quelconque, le nombre de côtés est indifférent. Les largeurs usuelles des joints variables sont de 1 cm à 5 cm et celles des joints constants sont de 1 cm à 3 cm.

b) opus incertum ou rustique

Les chants de ces éléments sont obligatoirement des cassures.

Les joints sont libres et variables. Les éléments ont des dimensions variables.

c) opus taillé

Les chants de ces éléments sont droits, sciés ou taillés, préalablement ou à la mise en place. Le devis descriptif doit indiquer si les joints sont constants ou variables.

Les dimensions des éléments sont variables.

d) opus appareillé

Ce revêtement est utilisé à partir d'un plan du maître d'oeuvre et d'un dessin tracé par l'entrepreneur sur les indications précises du maître d'oeuvre. Dans ce dernier cas, le devis descriptif doit indiquer le module. Les chants sont libres. €

3.3.2 dalles en ardoises

3.3.2.1 définition du produit



NOTE : L'ardoise provient d'une couche naturelle (phyllade) de nature schisteuse.

L'ardoise doit avoir un grain dur, ne contenir ni sulfure de fer décomposable, ni noeuds, ni veines altérables de nature à nuire aux qualités techniques du dallage.

Lorsque la teneur en carbonate de calcium est supérieure à 25 %, les ardoises peuvent être assimilées à des pierres calcaires et répondent alors aux prescriptions du paragraphe 3.3.1 ƒ.

3.3.2.2 spécifications techniques

Les dalles en ardoises peuvent être façonnées différemment selon leur appareillage. Elles sont obtenues par sciage ou tranchage, puis rabotage éventuel du schiste ardoisier.

3.3.2.2.1 travaux d'ardoiserie

Face vue rabotée ou polie, face non vue dressée, chants sciés, dalles de formes imposées, faces polies ou rabotées, sous-face dressée.

Tolérances :

a) Sur les côtés : ± 1 mm par dimension.

b) Sur les épaisseurs :

- ± 3 mm pour les épaisseurs supérieures ou égales à 2 cm ;

- ± 2 mm pour les épaisseurs inférieures à 2 cm.

Planéité :

La flèche de la face vue ne doit pas dépasser 0,8 mm pour les dimensions inférieures ou égales à 40 cm et 1/500 de la longueur du plus grand côté pour les dimensions supérieures à 40 cm, que la surface soit concave ou convexe.

Hors d'équerre :

L'écart admissible est de 1 mm par dimension.

3.3.2.2.2 travaux ordinaires

Face vue et non vue brutes de clivage, chants taillés ou sciés.

Tolérances :

1) Faces brutes de clivage :



a) sur les côtés : ± 2 mm par dimension ;

b) sur les épaisseurs :

- ± 4 mm pour les épaisseurs supérieures ou égales à 2 cm ;

- ± 2 mm pour les épaisseurs inférieures à 2 cm.



Planéité :

La flèche de la face vue ne doit pas dépasser 2 mm pour les dimensions inférieures ou égales à 40 cm et 1/150 de la longueur du plus grand côté pour les dimensions supérieures à 40 cm, que la surface soit concave ou convexe ;

Hors d'équerre :

L'écart admissible est de 2 mm par dimension.

2) Dalles de formes ou de dimensions non imposées :

Ces dalles sont destinées aux ouvrages suivants :

- opus incertum ;

- opus romain.

Ces éléments tout venant sont façonnés, les deux faces brutes de clivage avec des chants taillés ou sciés.



NOTE : Sont tolérées les veines de couleur, les vergeures, les dendrites et les pyrites cristallisées, toutes particularités qui n'affectent pas la solidité.

3.3.3 dalles en granit

On assimile aux granits tous les matériaux quartzeux et, en particulier, les quartzites et les grès siliceux.

3.3.3.1 aspect

L'aspect est celui prévu par les documents particuliers du marché. Le parement non vu est brut de sciage, clivage ou de tranchage. Les chants sont généralement sciés et non démaigris.



NOTE : Le traitement en surface, bouchardé, layé ou similaire, nécessite une augmentation d'épaisseur.

Une nouvelle technique de traitement des parements, appelée « surfaçage thermique », consiste à passer au jet de flamme par chalumeau les parements préalablement sciés afin de redonner au granit, par un éclatement très superficiel, l'aspect naturel que le sciage lui avait fait perdre.

3.3.3.2 spécifications techniques, caractéristiques physiques et géométriques

Ces dalles doivent être tirées de pierres saines non susceptibles de se décomposer sous l'effet des agents atmosphériques et ne comportant aucune trace d'argile ou de sédiments.

3.3.3.3 dimensions (des dalles en granit)

Les dalles de granit suivent les prescriptions des paragraphes :

- 3.3.1 ƒ pour les dalles à parement scié ;

- 3.3.2 ƒ pour les dalles à parement brut de clivage ou de tranchage.







4 exécution des travaux préparatoires



4.1 préparation du support pour recevoir une couche isolante

Avant de mettre en oeuvre une couche isolante, il peut être nécessaire de parfaire l'état de surface du support.



NOTE : Ponçage, ragréage, lit de sable stabilisé ou non, etc.

4.2 ravoirage



NOTE : Le ravoirage désigne un ouvrage, réalisé sur le support, permettant d'atteindre la cote de niveau souhaitée et, éventuellement, d'y loger les canalisations de plomberie, de chauffage et d'électricité. D'autres matériaux, tels que le béton de granulats légers ou des procédés spéciaux peuvent être utilisés.

Cet ouvrage est réalisé soit à l'aide de sable de classe 0,08/5 mm stabilisé avec 100 kg minimum d'un liant hydraulique par mètre cube de sable ; soit de mortier maigre dosé à 150 kg minimum de liant par mètre cube de sable).

4.3 couche de désolidarisation



NOTE : Cette couche, éventuellement nécessaire, est destinée à désolidariser la forme du support ou le mortier de pose des couches sous-jacentes.

Une surépaisseur ou un excès d'humidité peut entraîner des désordres.

Elle est constituée soit :

- d'un film de polyéthylène, d'environ 150 µm, d'épaisseur minimale ;

- d'un lit de sable de 1 cm ;

- d'un feutre bitumé type 36 S (normes NF P 84-313 ƒ et P 84-315 ƒ).

4.4 revêtement d'étanchéité

Les revêtements de sols ne pouvant assurer par eux-mêmes l'étanchéité, un revêtement d'étanchéité est réalisé conformément aux dispositions de l'annexe A ƒ de la présente partie de norme.

4.5 mise en oeuvre des isolants

La mise en place des isolants doit être faite de façon à obtenir une continuité de l'isolation et éviter la lame d'air sous l'isolant. En particulier, tout isolant rigide ayant une flèche supérieure à 4 mm/m sera rebuté ou découpé.

Des précautions doivent être prises pour empêcher la pénétration de la laitance dans les joints entre panneaux, rouleaux ou entre panneaux et mur.

Par exemple : fermer les joints entre panneaux à l'aide de bande adhésive ou dérouler un film de polyéthylène sur la totalité de la surface.

4.6 formes

On distingue les différents types de forme suivants :

a) Lit de sable, de classe 0,08/5 mm de 2 cm d'épaisseur maximale, employé à l'état sec.

b) Lit de 2 cm d'épaisseur en pierre concassée (calcaire, granit, basalte, porphyre, pouzzolane, silex, grès, etc.) dit « grain de riz », de granularité 2 mm à 5 mm.



NOTE : Pour les formes A et B, une surépaisseur ou un excès d'humidité peut entraîner des désordres.

c) Lit de sable de classe 0,08/5 mm de 3 cm à 4 cm d'épaisseur maximale stabilisé par 100/150 kg de liant hydraulique par mètre cube de sable sec.

d) Mortier ou béton maigre, de 4 cm à 6 cm d'épaisseur, dosé soit à 175/200 kg de ciment par mètre cube ou à environ 300 kg de chaux hydraulique par mètre cube de sable sec.

e) 3 cm à 5 cm de mortier de ciment dosé à environ 300 kg/m³, éventuellement avec armature de treillis soudé en acier doux :

- maille maximale : 50 mm × 50 mm ;

- masse minimale au mètre carré : 220 g.



NOTE : Par exemple, le treillis soudé 0,9 mm × 0,9 mm en mailles de 50 mm × 50 mm pèse environ 220 g au mètre carré.

f) 4 cm à 6 cm de mortier de ciment armé dosé à environ 300 kg/m³ avec armature de treillis soudé :

- maille maximale : 100 mm × 100 mm ;

- masse minimale au mètre carré : 325 g.



NOTE : Par exemple, le treillis soudé 1,4 mm × 1,8 mm en mailles de 100 mm × 100 mm pèse environ 335 g au mètre carré.

g) 4 cm à 6 cm de béton ou mortier, dosé à environ 300 kg/m³, avec armature :

- maille minimale : 50 mm × 50 mm ;

- masse minimale au mètre carré : 650 g.



NOTE : Par exemple, le treillis soudé 1,4 mm × 1,8 mm en mailles de 50 mm × 50 mm pèse environ 670 g au mètre carré.



4.7 Compatibilité des formes avec les couches isolantes

Le tableau ci-dessous € précise les types de forme et les données relatives au mortier de pose, compatibles avec les différents isolants.

Ces critères sont donnés pour des locaux à usage d'habitation (charge unitaire maximale de 250 daN/m²).

4.8 choix des formes en fonction des supports

4.8.1 sur dalle béton

Une forme peut être nécessaire lorsqu'il s'agit de rattraper un niveau, de réaliser des pentes ou s'il y a une couche isolante au-dessus de l'élément porteur.



NOTE : Lorsque la dalle béton repose sur un terre-plein, elle doit comporter une barrière contre les remontées capillaires.

4.8.2 sur plancher par poutrelles et entrevous ou poutrelles jointives

Lorsque les éléments du plancher ne sont pas rejointoyés transversalement, il faut rétablir la continuité du support par un ouvrage complémentaire (formes D-E-F-G par exemple).

Dans les autres cas, une forme n'est pas nécessaire, sauf lorsqu'il convient d'assurer un niveau, des pentes, ou s'il y a une couche isolante.

4.8.3 sur plancher chauffant

Ces planchers sont réalisés conformément aux normes NF P 52-301 ƒ (Référence DTU 65.6), NF P 52-302 ƒ (Référence DTU 65.7) et NF P 52-303 ƒ (Référence DTU 65.Cool.

La pose du carrelage ne peut être réalisée que si le plancher chauffant n'est pas en service.



NOTE : Le chauffage doit être interrompu 48 h avant l'exécution des travaux. La remise en chauffe ne peut intervenir qu'après un délai de 7 jours à l'issue des travaux.

4.8.4 sur plancher à solive de bois

Après dépose du parquet et des lambourdes, une protection des solives est réalisée par une feuille de polyéthylène. Ensuite, une forme du type g est exécutée, ou tout système équivalent.



NOTE : Ce cas rencontré en réhabilitation, doit faire l'objet d'une étude particulière.

4.8.5 sur plancher métallique

Exécuter une forme du type g.







5 exécution de l'ouvrage



5.1 généralités

Les carreaux reposent par l'intermédiaire du mortier de scellement sur les supports, sur les formes, sur les isolants ou sur les couches de désolidarisation.

5.2 pose adhérente

5.2.1 sur support

La pose sur support sans désolidarisation n'est autorisée que sur les dalles de béton et les planchers à poutrelles et entrevous rejointoyés transversalement.

Elle est interdite sur support récent.



NOTE : Un support de béton est considéré comme récent, dans des conditions climatiques normales, si moins de six mois se sont écoulés depuis sa confection.

Ce délai est ramené à un mois, dans le cas de dallage.

L'épaisseur du mortier de pose est de 2 cm à 4 cm suivant la nature et les dimensions du matériau employé, sans être localement inférieure à 1 cm.

5.2.2 sur forme

La pose sur les formes du type D, E, F ou g est assimilée à la pose sur support.

La pose sur les formes du type A, B ou C nécessite une épaisseur du mortier de pose de l'ordre de 3 cm.

5.3 pose désolidarisée ou pose « directe » sur isolant

5.3.1 pose sur couche de désolidarisation



- Avec un film de polyéthylène d'au moins 150 µm d'épaisseur ou avec un feutre bitumé type 36 S ;

- Avec un lit de sable de 1 cm.

5.3.2 pose sur isolants

La pose « directe » n'est autorisée que sur isolant de classe de compressibilité I par référence au paragraphe 4.7 ou sur tout isolant acoustique d'épaisseur inférieure ou égale à 3 mm.

Les données relatives au mortier de pose : épaisseur, présence ou non d'une armature sont indiquées au paragraphe 4.7 ƒ, l'armature considérée étant un treillis métallique.

5.4 modes de pose

On distingue deux modes de pose :

- à la bande, au cordeau et au pilon ;

- à la règle et à la batte ou au pilon.

5.4.1 pose à la bande



NOTE : La pose à la bande nécessite un dosage en liant supérieur à celui de la pose à la règle.

La pose à la bande est effectuée au cordeau et au pilon, à bain soufflant de mortier.

Alignés par bande entre règles ou cordeaux, les carreaux sont fixés au pilon et à la batte au fur et à mesure de l'avancement avant le début de prise du mortier.

5.4.2 pose à la règle

Le mortier est étalé, tiré à la règle, compacté et taloché. Puis, une barbotine de ciment pur est répandue à la surface du mortier.

L'épandage de barbotine peut être remplacé par un saupoudrage de ciment pur, suivi ou non d'un lissage à la truelle.

Ces opérations ne sont pas faites par grandes surfaces, mais par travées, de telle façon que le battage ait lieu sur le mortier encore plastique.

Le mortier doit refluer partiellement dans les joints.

5.5 mortiers de pose

5.5.1 composition

5.5.1.1 sable

Le sable utilisé est du sable de rivière ou de carrière, lavé (ESV minimum 75), de classe 0,8/5 mm.

L'emploi de sable à lapin est interdit ainsi que celui du sable de dune non lavé.

5.5.1.2 nature des liants

D'une manière générale, les liants admis sont :

- des ciments CPA gris ou blancs, conformes à la norme NF P 15-301 ƒ de classe de résistance 45, 45 R, 55 et 55 R ;

- des chaux hydrauliques conformes aux normes NF P 15-310 et NF P 15-312.

A défaut d'approvisionnement sur un plan local de ces liants, il peut être fait recours à des ciments CPJ, conformes à la norme NF P 15-301 ƒ, de classes de résistance 45, 45 R, 55 et 55 R, sous les réserves suivantes :

Si les constituants secondaires sont uniquement :

- soit des fillers (CPJ n°2) repérés sur les sacs par la lettre F ;

- soit de la pouzzolane (CPJ n° 4) repérée sur les sacs par la lettre Z : dans ce cas on respecte pour la pose les mêmes conditions techniques que dans le cas d'un ciment CPA.

Si les constituants secondaires sont :

- soit des cendres volantes (CPJ n° 1), repérées sur les sacs par la lettre C ;

- soit des laitiers (CPJ n° 3), repérés sur les sacs par la lettre L : dans ce cas, il est fait l'obligation d'utiliser une barbotine adjuvantée prête à gâcher de fabrication industrielle. Apte à cet emploi (barbotine d'adhérence de carreaux).



NOTE : L'emploi du CPJ pour des températures inférieures à 15 °C nécessite une augmentation du délai d'attente avant mise en service.

En l'absence de l'indication explicite de la catégorie sur la sacherie, on peut se reporter à la liste des liants hydrauliques admis à la marque NF, tenue à jour et régulièrement diffusée par l'AFNOR, liste sur laquelle cette indication figure en regard de chaque fabrication.

Pour la pose de pierres naturelles, sensibles aux taches, n'utiliser que des ciments blancs ou des mortiers spéciaux ou des ciments gris recommandés par le fabricant pour cet usage.



NOTE : Les ciments blancs contiennent généralement peu d'alcalins solubles susceptibles de réagir avec les pierres.

5.5.1.3 dosage (mortiers de pose)

Pour les divers types de mortiers utilisés, les compositions sont les suivantes :

- mortier de ciment : 250 kg à 400 kg de liant par mètre cube de sable sec ;

- mortier bâtard : 300 kg à 400 kg de liant par mètre cube de sable sec ;

- mortier de chaux : 400 kg de liant par mètre cube de sable sec.



NOTE : Le dosage 250 kg/m³ correspond à un sac de liant pour trois brouettes et demie de sable environ).

Le dosage 350 kg/m³ correspond à un sac de liant pour deux brouettes et demie de sable environ).

Le dosage 400 kg/m³ correspond à un sac de liant pour deux brouettes de sable environ (une brouette normalisée a une capacité de 60 l).

Les mortiers prêts à gâcher de fabrication industrielle et de composition conformes aux présentes prescriptions peuvent être utilisés.

5.5.2 confection

Les mortiers sont préparés de préférence au malaxeur.

Les mortiers sont préparés au fur et à mesure de l'avancement des travaux.

L'emploi de mortier desséché ou ayant commencé à faire prise est interdit.

5.6 coulis et mortiers pour joints de carrelage et mosaïque

5.6.1 composition et dosage

La granularité des sables employés est fonction de la largeur du joint à réaliser :

- joint réduit (jusqu'à 2 mm) : sable de granulométrie 0,08/0,3 mm ;

- joint large (2 mm à 10 mm) : sable de granulométrie 0,08/1 mm ;

- joint très large (> 10 mm) : sable de granulométrie 0,08/3 mm.

Les liants sont les mêmes que ceux définis au paragraphe 5.5.1.2 ƒ.

La nature des sables est la même que celle décrite au paragraphe 5.5.1.1 ƒ.

Les coulis et mortiers sont exécutés :

a) soit en ciment pur ;

b) soit en mortier de ciment dosé de 800 kg à 1100 kg de liant par mètre cube de sable sec ;

c) soit en mortier spécial pour joints, à base de ciment, prêt à l'emploi ;

d) soit au mortier de chaux dosé de 400 kg à 1 000 kg de liant par mètre cube de sable sec.

5.6.2 confection

Le coulis ou mortier est préparé en faible quantité.

Le coulis doit être fluide afin de bien pénétrer dans les joints.

Le mortier doit être plastique.

5.7 joints

5.7.1 joints de dilatation, de tassement du gros oeuvre

Ces joints doivent être respectés dans la forme, dans le mortier de pose et dans le revêtement.

5.7.2 joints de retrait (du type joint scié)

Les joints de retrait du gros œuvre, qui n'intéressent pas l'épaisseur totale du dallage béton, peuvent être franchis par le revêtement sans précautions particulières.



NOTE : Il est recommandé de ne pas les recouvrir avant 30 jours de séchage.

5.7.3 joints de fractionnement du revêtement

5.7.3.1 cas d'une pose adhérente

Les surfaces supérieures à 60 m² sont fractionnées.

Les couloirs sont fractionnés par tranches de l'ordre de 8 m de longueur.

Ces fractionnements sont exécutés dans la totalité de l'épaisseur du mortier de pose et du revêtement.

Le fractionnement doit se poursuivre dans les formes E-F-G, si elles sont revêtues avant 30 jours de séchage.

Dans le cas d'ouvrage d'étanchéité sous revêtement, le fractionnement de la protection du revêtement d'étanchéité doit se poursuivre dans le mortier de pose et le revêtement.

5.7.3.2 cas d'une pose sur isolants ou cas d'une pose désolidarisée

Dans ce cas, le fractionnement des surfaces est ramené à 40 m².

Ces fractionnements qui sont exécutés dans la totalité de l'épaisseur du mortier de pose et du revêtement peuvent être déportés jusqu'à la ligne de joint la plus proche.

5.7.3.3 confection des joints

Dans tous les cas précités, les joints de fractionnement doivent avoir, en général, au moins 5 mm de largeur (3 mm dans le cas de joints sciés), et être garnis d'une matière résiliente.

5.7.4 joints périphériques

A défaut d'un relevé en matériaux résilients, un vide d'au moins 3 mm doit être réservé entre la dernière rangée de carreaux et les parois verticales de murs ou cloisons ainsi qu'autour des poteaux. Ce vide doit exister dans le mortier de pose et la forme.

Ce joint peut être supprimé pour les surfaces inférieures ou égales à 7 m².



NOTE : Cette limite est donnée pour éviter le blocage des revêtements sur les ossatures, risquant de créer des soulèvements. Le joint peut être fait en rabattant l'isolant sous la plinthe.

Les plinthes droites dissimulent ce vide. S'il est fait usage de plinthe à talon, un joint d'au moins 3 mm est ménagé entre la dernière rangée de carreaux et le bord du talon.

Le vide des joints périphériques est débarrassé de tous dépôts, déchets, mortiers ou plâtres, il peut être laissé libre ou garni d'un matériau compressible, non pulvérulent, imputrescible dans les conditions normales d'utilisation.

5.7.5 joints entre carreaux

La largeur des joints entre carreaux est fonction de la nature et du format des carreaux.

On distingue :

- joint réduit : jusqu'à 2 mm de largeur ;

- joint large : de 2 mm à 10 mm de largeur ;

- joint très large : largeur supérieure à 10 mm.

La pose jointive est interdite sauf pour certains travaux de marbrerie, sur prescription spéciale.

Les joints sont remplis après durcissement suffisant du mortier de pose et au plus tôt 24 h après la pose.
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3problème carrelage Empty Re: problème carrelage Ven 18 Nov - 20:42

pardon

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Certaines Garanties sur la construction :

la garantie contractuelle (Articles L211-15 et L211-16 du code de la consommation)

la garantie légale contre les vices cachés (Articles 1641 à 1649 du code civil)

la garantie légale de conformité (Articles L211-4 à L211-14 du code de la consommation)

La garantie décennale

Le vendeur et les professionnels ayant exécuté les travaux sont responsables pendant 10 ans des dommages qui compromettent la solidité de l'ouvrage ou le rendent inhabitable (impropre à sa destination). Leur responsabilité peut même être engagée pour les dommages résultant d'un vice du sol.

À titre d’exemples, les défauts suivant entrent dans le cadre de la garantie décennale : défaut d’étanchéité de la toiture, déformation de la charpente, fondations ou mur porteur fissurés, installation électrique ne répondant pas aux normes….

Les défauts affectant la solidité des éléments indissociables du bâtiment entrent également dans le cadre de la garantie décennale. Il s’agit notamment des canalisations, cheminées, escaliers… Et plus généralement des défauts touchant des parties faisant corps avec le bâtiment.

Afin d’obtenir réparation, lorsque l’acheteur constate des malfaçons relevant de la garantie décennale, il lui appartient de les signaler au constructeur par lettre recommandée avec accusé de réception et de le mettre en demeure d'exécuter les travaux.

Le point de départ de la garantie décennale est la réception de la construction par l’acheteur.

L’assurance dommage-ouvrage

L’assurance Dommage Ouvrage permet à l’acheteur d’être remboursé sans avoir à attendre qu’un tribunal se soit prononcé sur la responsabilité de chaque professionnel intervenu dans la construction du bâtiment. Elle prend effet au terme de la garantie de parfait achèvement et expire au même moment que la garantie décennale.

Elle a pour objet de rembourser rapidement à l’acquéreur toutes les réparations qui relèvent de la garantie décennale, car en cas de sinistre il est très fréquent que les divers intervenants se renvoient la responsabilité des désordres.

Bien qu’elle soit obligatoire, les personnes physiques construisant un logement pour l’occuper elle-même ou le faire occuper par leur conjoint, ascendant ou descendant, bénéficient d’une tolérance, l’absence d’assurance dommage-ouvrage ne donnant pas lieu à sanction.

Cependant, en cas de problème, l’acheteur qui décide de s’en passer risque de devoir attendre l’aboutissement d’une procédure judiciaire contre les constructeurs avant d’obtenir réparation des dommages ; L’assurance Dommage Ouvrage doit être souscrite avant l’ouverture du chantier. En pratique un délai de trois mois avant le début du chantier est nécessaire pour trouver un assureur.

Si aucun assureur n’a accepté de couvrir l’acheteur, celui-ci peut saisir le Bureau Central de Tarification de l’Assurance Construction afin que celui-ci oblige un assureur à le garantir à un prix que le Bureau Central de Tarification aura fixé.

Il arrive souvent que le constructeur propose à l’acheteur de souscrire pour son compte une assurance dommage-ouvrage auprès de la compagnie d’assurance qui les couvre au titre de la garantie décennale. Cette situation est à éviter car dans ce cas l’assureur devra à la fois défendre la victime et le responsable du dommage et, pour dépenser un minimum, risque de proposer une faible indemnisation.

La garantie de parfait achèvement

La garantie de parfait achèvement couvre les défauts de conformité ayant fait l’objet de réserves lors de la réception, qu’ils soient la résultante de malfaçons (travaux mal réalisés) ou de travaux non exécutés selon la commande.

Elle est à la charge du constructeur et court pendant un an à compter de la date de la réception des travaux. Durant cette période d’un an l’acheteur peut signaler au constructeur ou à l’entrepreneur les défauts de conformité non révélés à la réception mais qui sont apparus postérieurement et en obtenir la réparation. Ce signalement doit être fait par lettre recommandée avec accusé de réception.

À l’exception les défauts d’isolation phonique, les défauts qui n’ont pas été signalés lors de la réception des travaux ne sont pas garantis. Il est donc important que le maître de l’ouvrage inspecte sérieusement l’œuvre avant de signer le P.V. de réception et d’émettre d’éventuelles réserves.

Lorsque les défauts sont importants, l’acheteur peut refuser de signer le procès verbal. Il doit alors mettre le constructeur en demeure de mettre les choses en conformité avec un délai déterminé pour commencer les travaux.

Après l’expiration du délai de mise en demeure, l’article 1792-6 alinéa 4 du code civil permet à l’acheteur de commander les travaux auprès d’une autre entreprise. Ces travaux seront financés part les 5 % du prix de la construction non encore versés. Si cette somme se révèle insuffisante, l’acheteur peut saisir l’organisme qui a octroyé la garantie de livraison pour qu’il prenne en charge l’excédant.

La garantie de parfait achèvement ne prend pas en charge les désordres relevant de l’usure normale. Étant d’ordre public, toute clause du contrat de vente qui l’exclurait ou la limiterait est nulle.

La garantie biennale de bon fonctionnement

La garantie de bon fonctionnement couvre, pendant les deux années suivant la réception de l’ouvrage, le mauvais fonctionnement des équipements dissociables du bâtiment. Cette garantie couvre les éléments qui peuvent être retirés ou remplacés sans détériorer le gros œuvre.

À titre d’exemples, les dysfonctionnements touchant les éléments suivant entrent dans le cadre de la garantie biennale : système de chauffage (chaudière, radiateurs), revêtement des sols et murs (faïence, papier peints, carrelages, moquettes), sanitaires, portes, fenêtres, volets…

Lorsque le constructeur refuse d’effectuer les travaux, il appartient à l’acheteur de saisir la juridiction compétente avant l’expiration d’un délai de 2 ans à compter de la date de réception de l’ouvrage.

Vu les Dates et le fait que l'expert (decenale a fait un rapport il me semble avant le delai de deux ans mais oublie de signaler que cela fait partie de le biennale il y a peut etre une possibilitee) et que c'est une continuitee...... La dalle etant de la GD et la G biennale.. Idea ... carrelage (que ce n'est pas de l'usure normale)

comme de plus (pour parler de la dalle il aurait fallu sortir le carrrelage (meme pour un expert)...... qui n'a pas convoque le macon il me semble .....(voir la convoc de l'expert)

Réponse du constructeur (absent lors de l'expertise) Ce qui semble annormal puisque vous avez fait une DO Donc C'est Votre assureur qui refuse de Payer

Voir un avocat dans l'urgence ! avec les copies des rapports ,courriers au constructeur etc...Twisted Evil Gardez les originaaux (photocopie les docs disparaissent souvent du dossier lors d'une visite)




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4problème carrelage Empty Re: problème carrelage Sam 19 Nov - 22:11

mat45

mat45
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Vous me conseillez donc de me tourner vers un avocat.

Dois-je d'abord relancer le constructeur?

Je suis tout à fait novice dans les procédures (heureusement ....). Vers qui je dois me tourner quel type d'avocat,....

Merci de vos réponses

5problème carrelage Empty Re: problème carrelage Sam 26 Nov - 2:23

pardon

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mat45 a écrit:Vous me conseillez donc de me tourner vers un avocat.

Dois-je d'abord relancer le constructeur?

Je suis tout à fait novice dans les procédures (heureusement ....). Vers qui je dois me tourner quel type d'avocat,....

Merci de vos réponses

Oui je vous conseille de prendre un avocat pres de chez vous tres vite a cause des dates , je vous ai donne le

maximum d'info sans connaitrre sans lire le dossier il verra dapres les papiers deja fait .

n'oubliez pas de lancer cette procedure en ecrivant a votre assureur et lui demander de payer l'avocat !

Quel type d'avocat alors la !.....

Pas un 4 CH Rennaud de 1940 , Pas une ferrari 1950 , ni une 190 D mercedes de 1960..... lol!



Mais un qui a une reputation d'etre un " C " mais un qui a surtout envi de travailler de ce battre !

la il n'y a pas de recette miracle (voyez avec vos amis si il connaissent) ....

l'assurance doit prendre en charge les frais de c'est avocat ! surtout imprimez vous le texte que je vous ai

donne meem avec les fautes ....problème carrelage 874122 Comme Plan et pour discuter avec l'avocat ....

Tennez nous au courant de la suite ! apres avoir vu l'avocat ... qui va faire lui le courrier au constructeur ..

Tout vos courriers en LRAR meme a L'assureur !
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