Mon copain à la garde de sa fille une semaine sur deux depuis 4 ans. Cette décision à été entérinée par un juge suite à une entente commune entre le père et la mère. En mars dernier, nous avons reçu une lettre d’avocat de la part de la mère. Suite à cette lettre, le père à demandé à la mère une rencontre pour discuter de la garde de l’enfant lors de la rentrée scolaire de cette dernière, car le type de garde demandé dans la lettre de la mère ne convenait pas au père. Suite à cette rencontre, une entente est intervenue entre la mère et le père. La mère tenant à ce que tout soit signé devant un avocat à fait faire les papiers par un avocat pour que les deux parties puissent les signer. Cependant, quand mon copain à reçu l’entente de l’avocat, ce n’était pas du tout ce dont ils avaient discutés lors de leur rencontre. Depuis qu’il a refusé de signer cette entente, l’enfant nous mentionne qu’elle va déménager loin. Suite à plusieurs commentaires de l’enfant, nous avons demandé des explications à la mère. En effet, cette dernière projette de déménager et d’inscrire la petite dans une école de la rive sud de Québec tandis que depuis trois ans, les deux parties demeurent sur la rive nord de Québec. Évidemment, il serait pour nous impossible d’assurer le transport scolaire de la petite si cette dernière est inscrite dans une école sur la rive sud de Québec. La mère peut-elle déménager et inscrire la petite dans une école où le père ne peut la mener à l’école sans consentement du père ? Il me semble que par ce déménagement, la mère oblige aussi le père à déménager s’il veut continuer l’éducation de sa fille dont il a la garde partagée 50/50. De plus, il a fallu forcer pour obtenir ces renseignements, car elle nous met toujours devant le fait accompli. Elle ne nous informe jamais des changements majeurs dans sa vie même si ces changements affectent la stabilité de l’enfant.
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