Bonjour,
Je suis en CDD de remplacement congés maternité.
Animatrice dans un centre de loisirs, embauchée par la mairie à plein temps.
Sur mon contrat est écrit : "à compter du 1er février 2009 et jusqu'à la fin de l'arrêt de travail de l'agent remplacé"
Ce contrat est un contrat de droit public.
Mardi dernier en date du 11 janvier, ma directrice de centre, qui est
juste ma supérieur hiérarchique et non mon employeur, me prend entre
deux portes, et me demande si j'ai pris mes dispositions pour mon
licenciement au mois de mars.
Je lui répond oui, étonné quand même de cette question, et n'ayant pas
du tout été mise au courant. (Pour ne pas chercher à discuter avec elle,
étant donné qu'il y a des tensions entre nous deux)
Je précise que je n'ai jamais eu de Blâme, je n'est pas fait de fautes ou autres...
Aujourd'hui en date du 14/01/11, j'apprends que je devrai recevoir ma
lettre de convocation à l'entretiens préalable au licenciement.
Après recherche de mon côtés via internet, j'apprends que :
A part pour faute, mon employeur ne peut mettre fin à mon contrat que à
la fin de cet arrêt de travail de l'agent remplacé, et ce, même si cet
agent reviens avant le délai prévue.
Mais toute fois, si l'employeur décide quand même de mon renvoie (donc
sans motif) il doit alors me verser mon salaire en son intégralité
jusqu'à la date de fin de l'arrêt de l'agent remplacé.
J'ai contacté l'agent remplacé par téléphone, elle me soutiens qu'elle
reviens à la fin de la validité de son congés maternité de 3 ans, soit
février 2012.
J'ai alors contacté l'inspection du travail, qui m'ont bien dit que les
infos que j'avais trouvé sont exact, mais qu'ils ne pouvaient pas s'en
charger, et m'ont conseiller d'appeler les Prud'hommes.
Les Prud'hommes ne répondant pas au téléphone, j'ai appeler la mairie
(de la ville où j'habite et non celle pour laquelle je suis employée)
pour qu'ils m'aiguillent...
Ils m'ont donné une liste de délégué du personnel, liste arrêtée par le Préfet.
J'ai alors contacté une de ces personnes, qui me dit d'une part, de
l'appeler après réception de ma convocation pour mon licenciement,
qu'elle soit ainsi présente en tant que témoins...
Et d'une autre part, de laisser passer le licenciement entièrement, pour
en suite me retourner contre eux (la mairie qui m'emploie) à l'aide du
Prud'homme.
Ma crainte, est que si je laisse passer mon licenciement, et signe alors
l'accord pour ma rupture de contrat, que ensuite en contactant les
Prud'hommes, ces derniers me disent que c'est trop tard, qu'il ne
fallait pas que j'accepte les termes de mon licenciement.
Les délégué syndicales, malgré leur connaissances, n'ayant pas fait
d'études de droits, je me permet de douter de cette démarche, et
aimerais avoir les conseils de personnes plus aptes à me diriger vers la
bonnes démarche.
Suite des évennement 15 jours plus tard :
Aujourd'hui 24/01/11, ma chef de centre (qui n'est pas mon employeur) me
donne une enveloppe simple, avec ma lettre concernant mon licenciement à
l'intérieur.
Sur la lettre on lit :
Objet : votre CDD
Mademoiselle,
D'un commun accord, votre contrat à durée déterminée de sera pas prolongé au delà du 26 mars 2011.
Vous serez donc libérée de tout engagement avec la Mairie et le Centre de Loisirs à compter du 27 mars 2011.
Soyez assurée que je vous remercie de votre collaboration et de votre
implication dans le cadre des missions qui vous étaient dévolues.
Je vous prie.... salutations...
Voilà, "un commun accord" ? Je n'ai absolument rien signé !
Est ce normale ? Une lettre sans accusé de réception ?
Pas de rendez vous ?
Aucun document à signer ?
Futur éventuel problème pour toucher mes assédics ?
J'ai contacter le délégué syndical, j'attends qu'il me rappel.
Merci d'avance, je reste connectée en permanence pour voir vos réponses.
Je suis très stressée, étant donné aussi le délai qu'il me reste.
Je suis en CDD de remplacement congés maternité.
Animatrice dans un centre de loisirs, embauchée par la mairie à plein temps.
Sur mon contrat est écrit : "à compter du 1er février 2009 et jusqu'à la fin de l'arrêt de travail de l'agent remplacé"
Ce contrat est un contrat de droit public.
Mardi dernier en date du 11 janvier, ma directrice de centre, qui est
juste ma supérieur hiérarchique et non mon employeur, me prend entre
deux portes, et me demande si j'ai pris mes dispositions pour mon
licenciement au mois de mars.
Je lui répond oui, étonné quand même de cette question, et n'ayant pas
du tout été mise au courant. (Pour ne pas chercher à discuter avec elle,
étant donné qu'il y a des tensions entre nous deux)
Je précise que je n'ai jamais eu de Blâme, je n'est pas fait de fautes ou autres...
Aujourd'hui en date du 14/01/11, j'apprends que je devrai recevoir ma
lettre de convocation à l'entretiens préalable au licenciement.
Après recherche de mon côtés via internet, j'apprends que :
A part pour faute, mon employeur ne peut mettre fin à mon contrat que à
la fin de cet arrêt de travail de l'agent remplacé, et ce, même si cet
agent reviens avant le délai prévue.
Mais toute fois, si l'employeur décide quand même de mon renvoie (donc
sans motif) il doit alors me verser mon salaire en son intégralité
jusqu'à la date de fin de l'arrêt de l'agent remplacé.
J'ai contacté l'agent remplacé par téléphone, elle me soutiens qu'elle
reviens à la fin de la validité de son congés maternité de 3 ans, soit
février 2012.
J'ai alors contacté l'inspection du travail, qui m'ont bien dit que les
infos que j'avais trouvé sont exact, mais qu'ils ne pouvaient pas s'en
charger, et m'ont conseiller d'appeler les Prud'hommes.
Les Prud'hommes ne répondant pas au téléphone, j'ai appeler la mairie
(de la ville où j'habite et non celle pour laquelle je suis employée)
pour qu'ils m'aiguillent...
Ils m'ont donné une liste de délégué du personnel, liste arrêtée par le Préfet.
J'ai alors contacté une de ces personnes, qui me dit d'une part, de
l'appeler après réception de ma convocation pour mon licenciement,
qu'elle soit ainsi présente en tant que témoins...
Et d'une autre part, de laisser passer le licenciement entièrement, pour
en suite me retourner contre eux (la mairie qui m'emploie) à l'aide du
Prud'homme.
Ma crainte, est que si je laisse passer mon licenciement, et signe alors
l'accord pour ma rupture de contrat, que ensuite en contactant les
Prud'hommes, ces derniers me disent que c'est trop tard, qu'il ne
fallait pas que j'accepte les termes de mon licenciement.
Les délégué syndicales, malgré leur connaissances, n'ayant pas fait
d'études de droits, je me permet de douter de cette démarche, et
aimerais avoir les conseils de personnes plus aptes à me diriger vers la
bonnes démarche.
Suite des évennement 15 jours plus tard :
Aujourd'hui 24/01/11, ma chef de centre (qui n'est pas mon employeur) me
donne une enveloppe simple, avec ma lettre concernant mon licenciement à
l'intérieur.
Sur la lettre on lit :
Objet : votre CDD
Mademoiselle,
D'un commun accord, votre contrat à durée déterminée de sera pas prolongé au delà du 26 mars 2011.
Vous serez donc libérée de tout engagement avec la Mairie et le Centre de Loisirs à compter du 27 mars 2011.
Soyez assurée que je vous remercie de votre collaboration et de votre
implication dans le cadre des missions qui vous étaient dévolues.
Je vous prie.... salutations...
Voilà, "un commun accord" ? Je n'ai absolument rien signé !
Est ce normale ? Une lettre sans accusé de réception ?
Pas de rendez vous ?
Aucun document à signer ?
Futur éventuel problème pour toucher mes assédics ?
J'ai contacter le délégué syndical, j'attends qu'il me rappel.
Merci d'avance, je reste connectée en permanence pour voir vos réponses.
Je suis très stressée, étant donné aussi le délai qu'il me reste.