Bonjour, j'ai reçu une première convocation suite à une plainte que je vous exposerai ci-après, ma première question concerne cette convocation, celle-ci était adressée à mon nom mais le prénom ne correspondait pas, j'ai alors téléphoné au commisariat afin de leur demander des explications mais la personne en charge était abesnte pour plusieurs mois et on m'a dit d'attendre une autre convocation. Une seconde est arrivée toujours avec l'erreur de prénom, je me suis rendu au commisariat ou il m'a était dit que la personne en charge était toujours absente et me contacterait plus tard ! Au bout de six mois je reçois une troisième convocation toujours comportant cette même erreur, je la met sous envelloppe et la réexpédie au commisariat avec un mot expliquant qu'il n'y a personne portant ce prénom. Deux semaines plus tard un policier contacte ma femme, se montrant particulièrement désagréable parceque je ne me suis pas présenté à cette convocation et lui dit qu'une quatrième convocation me sera renvoyée. Ma question est avais-je raison de ne pas répondre à cette convocation, sachant que en plus j'ai déjà contacté la police à ce sujet par téléphone, m'y suis une première fois présenté et encore une fois renvoyé la convocation avec explications. Autre chose, la convocation porte une erreur mais si la plainte elle même porte cette même erreur est-elle recevable ou doit elle être modifiée au préalable ?
Le motif de la plainte est le suivant: Mon petit garçon vient me réveiller un matin paniqué parceque sa soeur vient de téléphoner à son grand-père habitant le même bâtiment que nous qu'elle est à l'école coincée et qu'on lui "tape" dessus. Je prend mon véhicule accompagné de mon père, 72 ans et me rend à l'école. Devant l'école ma fille court vers ma voiture et se jette dans mes bras en pleurant, elle m'explique brièvement avoir été maltraitée par trois élèves. Je me dirige donc vers l'école suivi de ma fille et de mon père, deux de ses amies sont sur le pas de la porte qui est ouverte, il y a une troisième personne ssez jeune que je n'identifie pas comme étant le surveillant et qui ne se présente pas lui-même, il tient la porte ouverte et n'a aucune réaction devant mon entrée ni celle de mon père. J'apprendrai donc par la suite qu'il s'agit du surveillant de l'école et qu'il y a un bureau à droite de l'entrée ou je suis censé à son invitation signer un cahier signalant ma présence, lequel bureau est à ce moment fermé et plongé dans le noir. A savoir aussi que ce surveillant est parfaitement au courant du motif de ma venue puisque les deux amies de ma fille le lui ont expliqué et m'ont désigné à mon arrivée dans le parking comme étant le père. Je rentre donc dans le hall de l'école tojours avec mon père, ma fille et ses deux amies. Ma fille devant rentrer en classe je dis à mon père de se rendre au bureau de la vie scolaire guidé par les amies de ma fille et comme elle craint d'être attendue dans les escaliers je l'accompagne jusqu'à sa classe ou elle me désigne finalement deux de ses agresseurs, je ne savais pas qu'ils étaient dans la même classe, afin de ne pas plus perturber le cours par la suite ni de devoir chercher qui ils sont je leur demande de descendre à la vie scolaire ce qu'ils font, y arrivant même avant moi. Je n'ai donc pas cherché à les retrouver en parcourant l'école et n'ai d'ailleurs pas vu la troisième personne impliquée. Une fois là ils sont dirigés par un membre du personnel vers un bureau et moi vers un autre dans l'attente du sous-proviseur. Celui-ci me signale que je n'avais pas le droit de rentrer dans l'école ce que j'ai deja pourtant fais par le passé pour me rendre à l'un ou l'autre bureau, il téléphone au proviseur absent ce jour là et me signifie que celui-ci va déposer plainte à la police contre moi ! Il faut savoir que je ne suis pas rentré dans l'école en "forçant" la porte ou le passage mais qu'on m'a bien ouvert la porte, laissé rentrer et qu'on ne m'a pas proposé ni de signer ce fameux cahier ni de m'accompagner, que je n'ai pas crée de scandale à l'intérieur de l'école, que je n'ai agressé personne ni physiquement ni verbalement, que je me suis déplacé avec calme dans les couloirs, que je n'ai pas cherché à régler moi-même le problème et ai laissé le soin de le faire aux responsables, que personne ne s'est inquiété de ma présence ni ne m'a demandé de sortir de l'établissement. Qu'il n'y a aucune autre plainte que celle du proviseur que ce soit de la part d'un élève ou d'un membre du prsonnel. En fait je devrais dire qu'il ne s'est rien passé ! Encore comprendrais-je si celà ne s'était pas passé dans le calme ou si j'avais forcé l'entrée ou était rentré d'une façon détournée ou avais poussé la voix mais rien de tout celà. Ma question est donc, que peux t'on me reprocher au final, le proviseur que j'ai rencontré par la suite me dit que celà se bornera sans doute à un rappel à la loi mais pourquoi alors cette volonté quasi de nuire en déposant une plainte vraiment non fondée. Il admet lui-même que le surveillant n'a pas fait son travail et que sa réaction peux laisser supposer à une autorisation tacite de rentrer ! Je trouve la réaction de l'établissement totalement disproportionnée j'ai cinq petits enfants, je me suis rendu à l'école dans un état de très grande inquiétue qui est quelque peu retombée quand j'ai vu ma fille en "sureté", malgré celà je suis resté calme à tout moment. Le sous-proviseur m'a proposé de reprendre ma fille avec moi à la maison, il a donc je le suppose bien vu qu'elle était marquée par cette agression. Il a de plus expliqué à ma fille que j'allais avoir de gros ennuis à cause d'elle, quelle superbe pédagogie que de dire celà à un enfant qui n'osera peut-être plus me contacter en cas de problèmes ! Je n'ai moi pas porté plainte contre les trois agresseurs estimant que l'établissement se chargerait de leur faire la leçon mais si on continue à me créer des ennuis je le ferai.
Merci de votre aide, je vous souhaite une très bonne journée.
Le motif de la plainte est le suivant: Mon petit garçon vient me réveiller un matin paniqué parceque sa soeur vient de téléphoner à son grand-père habitant le même bâtiment que nous qu'elle est à l'école coincée et qu'on lui "tape" dessus. Je prend mon véhicule accompagné de mon père, 72 ans et me rend à l'école. Devant l'école ma fille court vers ma voiture et se jette dans mes bras en pleurant, elle m'explique brièvement avoir été maltraitée par trois élèves. Je me dirige donc vers l'école suivi de ma fille et de mon père, deux de ses amies sont sur le pas de la porte qui est ouverte, il y a une troisième personne ssez jeune que je n'identifie pas comme étant le surveillant et qui ne se présente pas lui-même, il tient la porte ouverte et n'a aucune réaction devant mon entrée ni celle de mon père. J'apprendrai donc par la suite qu'il s'agit du surveillant de l'école et qu'il y a un bureau à droite de l'entrée ou je suis censé à son invitation signer un cahier signalant ma présence, lequel bureau est à ce moment fermé et plongé dans le noir. A savoir aussi que ce surveillant est parfaitement au courant du motif de ma venue puisque les deux amies de ma fille le lui ont expliqué et m'ont désigné à mon arrivée dans le parking comme étant le père. Je rentre donc dans le hall de l'école tojours avec mon père, ma fille et ses deux amies. Ma fille devant rentrer en classe je dis à mon père de se rendre au bureau de la vie scolaire guidé par les amies de ma fille et comme elle craint d'être attendue dans les escaliers je l'accompagne jusqu'à sa classe ou elle me désigne finalement deux de ses agresseurs, je ne savais pas qu'ils étaient dans la même classe, afin de ne pas plus perturber le cours par la suite ni de devoir chercher qui ils sont je leur demande de descendre à la vie scolaire ce qu'ils font, y arrivant même avant moi. Je n'ai donc pas cherché à les retrouver en parcourant l'école et n'ai d'ailleurs pas vu la troisième personne impliquée. Une fois là ils sont dirigés par un membre du personnel vers un bureau et moi vers un autre dans l'attente du sous-proviseur. Celui-ci me signale que je n'avais pas le droit de rentrer dans l'école ce que j'ai deja pourtant fais par le passé pour me rendre à l'un ou l'autre bureau, il téléphone au proviseur absent ce jour là et me signifie que celui-ci va déposer plainte à la police contre moi ! Il faut savoir que je ne suis pas rentré dans l'école en "forçant" la porte ou le passage mais qu'on m'a bien ouvert la porte, laissé rentrer et qu'on ne m'a pas proposé ni de signer ce fameux cahier ni de m'accompagner, que je n'ai pas crée de scandale à l'intérieur de l'école, que je n'ai agressé personne ni physiquement ni verbalement, que je me suis déplacé avec calme dans les couloirs, que je n'ai pas cherché à régler moi-même le problème et ai laissé le soin de le faire aux responsables, que personne ne s'est inquiété de ma présence ni ne m'a demandé de sortir de l'établissement. Qu'il n'y a aucune autre plainte que celle du proviseur que ce soit de la part d'un élève ou d'un membre du prsonnel. En fait je devrais dire qu'il ne s'est rien passé ! Encore comprendrais-je si celà ne s'était pas passé dans le calme ou si j'avais forcé l'entrée ou était rentré d'une façon détournée ou avais poussé la voix mais rien de tout celà. Ma question est donc, que peux t'on me reprocher au final, le proviseur que j'ai rencontré par la suite me dit que celà se bornera sans doute à un rappel à la loi mais pourquoi alors cette volonté quasi de nuire en déposant une plainte vraiment non fondée. Il admet lui-même que le surveillant n'a pas fait son travail et que sa réaction peux laisser supposer à une autorisation tacite de rentrer ! Je trouve la réaction de l'établissement totalement disproportionnée j'ai cinq petits enfants, je me suis rendu à l'école dans un état de très grande inquiétue qui est quelque peu retombée quand j'ai vu ma fille en "sureté", malgré celà je suis resté calme à tout moment. Le sous-proviseur m'a proposé de reprendre ma fille avec moi à la maison, il a donc je le suppose bien vu qu'elle était marquée par cette agression. Il a de plus expliqué à ma fille que j'allais avoir de gros ennuis à cause d'elle, quelle superbe pédagogie que de dire celà à un enfant qui n'osera peut-être plus me contacter en cas de problèmes ! Je n'ai moi pas porté plainte contre les trois agresseurs estimant que l'établissement se chargerait de leur faire la leçon mais si on continue à me créer des ennuis je le ferai.
Merci de votre aide, je vous souhaite une très bonne journée.