L'un de mes enfants est suivi par un CMPP qui nous a demandé s'il pouvait contacter l'école afin d'envisager un travail en commun. L'assistante sociale de l'école a donc été contactée par le CMPP.
Nous voudrions savoir si le CMPP avait le choix de contacter la maîtresse ou l'assistante sociale tout d'abord et si ce choix reflète une intention. Nous voudrions aussi en savoir plus sur le statut juridique de l'assistante sociale scolaire: représente-t-elle les "services sociaux" et ce contact est-il un signalement aux services sociaux en vue de mesures administratives ou est-il possible qu'il ne s'agisse que d'un contact qui n'aura pas de suite administrative. S'il ne s'agit pas encore d'un signalement, est-ce que cela représente un premier pas vers un signalement administratif et que pouvons-nous faire si, sûrs de notre bon droit et de la qualité de notre rapport parental avec l'enfant, nous pensons que ce signalement n'a pas raison d'être ? Actuellement, l'enfant préoccupe sa maîtresse en raison d'absences répétées au second trimestre (absences toutes justifiées par des certificats médicaux en bonne et due forme, ce que reconnaît la maîtresse) et d'un comportement réservé, mais personne ne parle de maltraitance pour la simple et bonne raison que l'enfant n'est pas maltraité et, s'il l'était, le CMPP le saurait mieux que quiconque puisqu'il le suit depuis deux ans.
J'espère avoir été suffisamment clair. Merci à l'avance pour vos éventuelles clarifications.
Nous voudrions savoir si le CMPP avait le choix de contacter la maîtresse ou l'assistante sociale tout d'abord et si ce choix reflète une intention. Nous voudrions aussi en savoir plus sur le statut juridique de l'assistante sociale scolaire: représente-t-elle les "services sociaux" et ce contact est-il un signalement aux services sociaux en vue de mesures administratives ou est-il possible qu'il ne s'agisse que d'un contact qui n'aura pas de suite administrative. S'il ne s'agit pas encore d'un signalement, est-ce que cela représente un premier pas vers un signalement administratif et que pouvons-nous faire si, sûrs de notre bon droit et de la qualité de notre rapport parental avec l'enfant, nous pensons que ce signalement n'a pas raison d'être ? Actuellement, l'enfant préoccupe sa maîtresse en raison d'absences répétées au second trimestre (absences toutes justifiées par des certificats médicaux en bonne et due forme, ce que reconnaît la maîtresse) et d'un comportement réservé, mais personne ne parle de maltraitance pour la simple et bonne raison que l'enfant n'est pas maltraité et, s'il l'était, le CMPP le saurait mieux que quiconque puisqu'il le suit depuis deux ans.
J'espère avoir été suffisamment clair. Merci à l'avance pour vos éventuelles clarifications.