Bonjour à tout le monde
Nous avons signé un acte de vente le 2 décembre 2011. Dans les diagnostics, datés le 12 septembre 2011, on dit qu’il existe un contrat de maintien pour la chaudière (voici la phrase exacte sous ‘chauffage’ : ‘Inspection > 15 ans : Présence du contrat d'entretien.’) Cependant, d’après les documents que nous avons reçus après la vente, il est clair que le contrat avait expiré le 15 juillet 2011, et qu’il n’y a pas eu de visite de maintien de la chaudière depuis juillet 2010. Malheureusement, il est évident que la chaudière ne marche pas comme il faut, et il se peut qu’il faille en acheter une nouvelle. Si nous avions su qu’il n’y avait pas de contrat d’entretien, nous aurions demandé au moins des preuves du bon fonctionnement de la chaudière, et même une baisse du prix d’achat pour payer la nouvelle. Nous sommes déçus par l’erreur dans les diagnostics. Est-ce un vice caché ? Avons-nous la possibilité de recours contre soit le vendeur (qui a peut-être dit au diagnostiqueur qu’il y avait un contrat en vigueur) soit le diagnostiqueur (qui a peut-être accepté en bonne foi ce que le propriétaire lui a dit, mais sans vérifier). Et si oui, comment prouver ce qui s’est passé ? Merci d’avance de vos réponses.
Nous avons signé un acte de vente le 2 décembre 2011. Dans les diagnostics, datés le 12 septembre 2011, on dit qu’il existe un contrat de maintien pour la chaudière (voici la phrase exacte sous ‘chauffage’ : ‘Inspection > 15 ans : Présence du contrat d'entretien.’) Cependant, d’après les documents que nous avons reçus après la vente, il est clair que le contrat avait expiré le 15 juillet 2011, et qu’il n’y a pas eu de visite de maintien de la chaudière depuis juillet 2010. Malheureusement, il est évident que la chaudière ne marche pas comme il faut, et il se peut qu’il faille en acheter une nouvelle. Si nous avions su qu’il n’y avait pas de contrat d’entretien, nous aurions demandé au moins des preuves du bon fonctionnement de la chaudière, et même une baisse du prix d’achat pour payer la nouvelle. Nous sommes déçus par l’erreur dans les diagnostics. Est-ce un vice caché ? Avons-nous la possibilité de recours contre soit le vendeur (qui a peut-être dit au diagnostiqueur qu’il y avait un contrat en vigueur) soit le diagnostiqueur (qui a peut-être accepté en bonne foi ce que le propriétaire lui a dit, mais sans vérifier). Et si oui, comment prouver ce qui s’est passé ? Merci d’avance de vos réponses.