Bonjour,
Je viens à vous dans l'espoir de trouver de véritables conseils, après un passage décevant dans une association de consommateurs qui se contente de me dire "payez et vous serez tranquilles".
Voilà toute l'histoire :
J'emménage dans un nouvel appartement le 2 juillet 2010. Le jour même j'appelle Gaz de France pour ouvrir un contrat de fourniture de gaz. Au premier appel, mes coordonnées sont entrées avant toute chose (noms, adresse, RIB), mais l'appel est coupé soudainement. Un second appel est aussi interrompu. Je rappelle, je dois redire toutes mes coordonnées, puis j'assiste à un long silence de 3 minutes sans réponse je raccroche. Je retente, je dois une fois de plus redonner mes coordonnées, et le conseiller s'aperçoit tout d'un coup que le lieu où j'habite n'est pas raccordé chez eux, il est parfaitement incapable de me renseigner. Encore un appel où je suis obligée une fois encore et sans pouvoir m'exprimer autrement de donner toutes mes coordonnées, et même chose, le conseiller me dit qu'il ne peut rien faire pour moi, et qu'il faut se renseigner à la mairie. Je retente encore un appel et cette fois j'apprends que mon appartement est raccordé à une filiale de GDF, mais le conseiller n'a pas de numéro à me fournir pour les contacter...
Excédée, je passe le téléphone à mon petit-ami pour tenter un ultime appel dans l'espoir que quelqu'un puisse nous renseigner mieux que cela. Il tombe sur une personne apparemment compétente, bien que la discussion dure bien 10 minutes avec de nombreux temps d'attente. La conseillère au bout du fil finit par lui expliquer clairement qu'il faut contacter Gaz de Bordeaux, et profite de la situation pour lui dire "mais par contre, je peux m'occuper de l'électricité". Mon petit-ami n'étant pas au fait de la séparation d'EDF et de GDF, pense qu'il s'agit d'EDF, chez qui je veux aller; moi, doutant, n'arrête pas de lui dire qu'il ne s'agit sûrement pas d'EDF, mais rien n'y fait il est en confiance avec la conseillère.
Celle-ci m'inscrit donc chez Dolce Vita, et le relevé dont elle dispose est en plus erroné de 100 watts supplémentaires...
Je reçois au bout de deux jours un courrier avec les CGV et CPV et une autorisation de prélèvement à renvoyer. Je ne leur renvoie pas cette autorisation. Dans le délai de 7 jours imparti pour se rétracter, je leur envoie une LRAR demandant la résiliation du contrat. Ils reçoivent cette lettre le 12 juillet, date à laquelle leur technicien passe relever le compteur pour l'ouverture du contrat.
Je reçois ensuite un échéancier de plan de paiement, puis fin août une facture de mise en service, qui est prélevée sur mon compte sans autorisation. Je règle ce problème avec ma banque, tout prélèvement de Dolce Vita étant donc rejeté jusqu'à nouvel ordre, et les frais d'ouverture m'étant rendus. Le 22 juillet j'appelle leur service clients qui ne peut pas me renseigner et me conseille d'attendre.
Début septembre je reçois enfin une lettre de leur part, datée du 24 juillet, m'indiquant que ma demande de résiliation "a été prise en compte".
Depuis, chaque mois je reçois un courrier de "rejet de prélèvement automatique" me demandant de régler par TIP.
Entretemps j'ai envoyé un courrier de relance le 10 septembre en LRAR, faisant clairement état de la situation, avec toutes les preuves de ma bonne foi photocopiées et jointes.
Silence radio total.
Je me rends début octobre à UFC que choisir, qui ne peut rien faire pour moi si ce n'est envoyer une lettre, dont je devrais recevoir le double, ce qui n'est toujours pas le cas à l'heure actuelle... La personne que j'ai vue m'a juste dit que je devais payer Dolce Vita et attendre 6 mois pour retourner à EDF.
Problème...
Je me suis depuis ce problème avec Dolce Vita, renseignée, alors qu'en est-il de la réversibilité, du retour au tarif EDF réglementé ?
Ce retour est-il vraiment impossible depuis le 01 juillet 2010 ? La loi du 07 juin 2010 n'a t'elle pas permis ce retour au tarif réglementé ?
Ma ligne d'électricité est prise en otage depuis 3 mois par Dolce Vita, car quelles que soit leurs fautes et leur incompétence, je suis actuellement fournie en électricité et ainsi ils auront toujours raison uniquement parce que je leur "devrait" de l'argent.
Le seul argent que je pense leur devoir est la consommation d'électricité entre le 12 et le 24 juillet, dates durant lesquelles ma demande était connue d'eux, et "prise en compte" le 24.
Coincée par eux je ne sais pas si je pourrais un jour "retourner" (vu qu'il s'agit d'un abus de confiance au téléphone et que je me suis aussitôt rétractée, peut-on parler de "retour" ?) chez EDF au tarif réglementé, ce que je souhaite depuis le début !!! J'ai peur de me retrouver avec une facture exorbitante d'un seul coup, sans compter des intérêts pour créance (ce qui ne m'étonnerait pas de leur part) sans compter des "frais" de résiliation. J'ai aussi bien peur de me retrouver du jour au lendemain sans électricité sans être prévenue (vu l'incroyable lenteur d'acheminement de leurs courriers, tout est possible).
Les seuls conseils que j'ai reçu depuis 3 mois c'est "attendez et vous verrez". Autant dire se laisser mener par la politique de l'autruche !!!
Que pouvez-vous me conseiller ?
Je viens à vous dans l'espoir de trouver de véritables conseils, après un passage décevant dans une association de consommateurs qui se contente de me dire "payez et vous serez tranquilles".
Voilà toute l'histoire :
J'emménage dans un nouvel appartement le 2 juillet 2010. Le jour même j'appelle Gaz de France pour ouvrir un contrat de fourniture de gaz. Au premier appel, mes coordonnées sont entrées avant toute chose (noms, adresse, RIB), mais l'appel est coupé soudainement. Un second appel est aussi interrompu. Je rappelle, je dois redire toutes mes coordonnées, puis j'assiste à un long silence de 3 minutes sans réponse je raccroche. Je retente, je dois une fois de plus redonner mes coordonnées, et le conseiller s'aperçoit tout d'un coup que le lieu où j'habite n'est pas raccordé chez eux, il est parfaitement incapable de me renseigner. Encore un appel où je suis obligée une fois encore et sans pouvoir m'exprimer autrement de donner toutes mes coordonnées, et même chose, le conseiller me dit qu'il ne peut rien faire pour moi, et qu'il faut se renseigner à la mairie. Je retente encore un appel et cette fois j'apprends que mon appartement est raccordé à une filiale de GDF, mais le conseiller n'a pas de numéro à me fournir pour les contacter...
Excédée, je passe le téléphone à mon petit-ami pour tenter un ultime appel dans l'espoir que quelqu'un puisse nous renseigner mieux que cela. Il tombe sur une personne apparemment compétente, bien que la discussion dure bien 10 minutes avec de nombreux temps d'attente. La conseillère au bout du fil finit par lui expliquer clairement qu'il faut contacter Gaz de Bordeaux, et profite de la situation pour lui dire "mais par contre, je peux m'occuper de l'électricité". Mon petit-ami n'étant pas au fait de la séparation d'EDF et de GDF, pense qu'il s'agit d'EDF, chez qui je veux aller; moi, doutant, n'arrête pas de lui dire qu'il ne s'agit sûrement pas d'EDF, mais rien n'y fait il est en confiance avec la conseillère.
Celle-ci m'inscrit donc chez Dolce Vita, et le relevé dont elle dispose est en plus erroné de 100 watts supplémentaires...
Je reçois au bout de deux jours un courrier avec les CGV et CPV et une autorisation de prélèvement à renvoyer. Je ne leur renvoie pas cette autorisation. Dans le délai de 7 jours imparti pour se rétracter, je leur envoie une LRAR demandant la résiliation du contrat. Ils reçoivent cette lettre le 12 juillet, date à laquelle leur technicien passe relever le compteur pour l'ouverture du contrat.
Je reçois ensuite un échéancier de plan de paiement, puis fin août une facture de mise en service, qui est prélevée sur mon compte sans autorisation. Je règle ce problème avec ma banque, tout prélèvement de Dolce Vita étant donc rejeté jusqu'à nouvel ordre, et les frais d'ouverture m'étant rendus. Le 22 juillet j'appelle leur service clients qui ne peut pas me renseigner et me conseille d'attendre.
Début septembre je reçois enfin une lettre de leur part, datée du 24 juillet, m'indiquant que ma demande de résiliation "a été prise en compte".
Depuis, chaque mois je reçois un courrier de "rejet de prélèvement automatique" me demandant de régler par TIP.
Entretemps j'ai envoyé un courrier de relance le 10 septembre en LRAR, faisant clairement état de la situation, avec toutes les preuves de ma bonne foi photocopiées et jointes.
Silence radio total.
Je me rends début octobre à UFC que choisir, qui ne peut rien faire pour moi si ce n'est envoyer une lettre, dont je devrais recevoir le double, ce qui n'est toujours pas le cas à l'heure actuelle... La personne que j'ai vue m'a juste dit que je devais payer Dolce Vita et attendre 6 mois pour retourner à EDF.
Problème...
Je me suis depuis ce problème avec Dolce Vita, renseignée, alors qu'en est-il de la réversibilité, du retour au tarif EDF réglementé ?
Ce retour est-il vraiment impossible depuis le 01 juillet 2010 ? La loi du 07 juin 2010 n'a t'elle pas permis ce retour au tarif réglementé ?
Ma ligne d'électricité est prise en otage depuis 3 mois par Dolce Vita, car quelles que soit leurs fautes et leur incompétence, je suis actuellement fournie en électricité et ainsi ils auront toujours raison uniquement parce que je leur "devrait" de l'argent.
Le seul argent que je pense leur devoir est la consommation d'électricité entre le 12 et le 24 juillet, dates durant lesquelles ma demande était connue d'eux, et "prise en compte" le 24.
Coincée par eux je ne sais pas si je pourrais un jour "retourner" (vu qu'il s'agit d'un abus de confiance au téléphone et que je me suis aussitôt rétractée, peut-on parler de "retour" ?) chez EDF au tarif réglementé, ce que je souhaite depuis le début !!! J'ai peur de me retrouver avec une facture exorbitante d'un seul coup, sans compter des intérêts pour créance (ce qui ne m'étonnerait pas de leur part) sans compter des "frais" de résiliation. J'ai aussi bien peur de me retrouver du jour au lendemain sans électricité sans être prévenue (vu l'incroyable lenteur d'acheminement de leurs courriers, tout est possible).
Les seuls conseils que j'ai reçu depuis 3 mois c'est "attendez et vous verrez". Autant dire se laisser mener par la politique de l'autruche !!!
Que pouvez-vous me conseiller ?